Ah, que la neige a neigé! (Tu parles!)
À cette période-ci dans l'année, avouons-le, la gadoue dans laquelle nous pataugeons n'est plus de la neige à nos yeux, c'est de la merde blanche.
En tout cas, c'est dans cet état d'esprit que j'ai mis le nez dehors ce matin, pour récupérer le journal de ma boîte aux lettres. Ma première pensée a été "Bâtard de cochonnerie!" à la vue de toute cette neige lourde et collante sur les arbres, au sol et sur les voitures. Bien sûr, je savais que cette neige serait là, j'avais entendu les prévisions météo et de plus, j'étais sorti hier soir. J'avais donc eu un avant-goût de ce "cadeau" du ciel. N'empêche, le fait de savoir que je découvrirais un manteau de neige (une couche de merde blanche, oui) à mon réveil n'a pas empêché mon cerveau de refuser la réalité jusqu'à ce qu'elle s'impose à mes sens.
Le pire était de zigzaguer entre les immenses flaques de neige à demi fondue et de devoir faire de grandes enjambées à chaque rue qu'on traverse. Ça et le fait d'avoir à chausser à nouveau des bottes, ce qui me fait pester immanquablement à chaque fin d'hiver. Comprenez-moi bien, j'aime bien l'hiver. C'est la fin de l'hiver qui me tue. Cette période tampon avant l'arrivée du printemps où on ne sait jamais si il va neiger, pleuvoir ou faire grand soleil, si le mercure va s'éclater et me faire suer sous mon manteau ou se morfondre dans des températures subpolaires.
Il y avait quand même de jolies choses à voir. En descendant la côte du Beaver Hall, il y avait une succession de vagues minuscules qui dévalaient l'asphalte et qui finissaient en torrents sur la rue Viger. Et puis j'ai procuré un moment d'hilarité à ma douce lorsqu'en partant de la maison, un gros tas de neige m'est tombé dessus juste au moment où je passais sous l'arbre du voisin.
Bâtard de cochonnerie!
En tout cas, c'est dans cet état d'esprit que j'ai mis le nez dehors ce matin, pour récupérer le journal de ma boîte aux lettres. Ma première pensée a été "Bâtard de cochonnerie!" à la vue de toute cette neige lourde et collante sur les arbres, au sol et sur les voitures. Bien sûr, je savais que cette neige serait là, j'avais entendu les prévisions météo et de plus, j'étais sorti hier soir. J'avais donc eu un avant-goût de ce "cadeau" du ciel. N'empêche, le fait de savoir que je découvrirais un manteau de neige (une couche de merde blanche, oui) à mon réveil n'a pas empêché mon cerveau de refuser la réalité jusqu'à ce qu'elle s'impose à mes sens.
Le pire était de zigzaguer entre les immenses flaques de neige à demi fondue et de devoir faire de grandes enjambées à chaque rue qu'on traverse. Ça et le fait d'avoir à chausser à nouveau des bottes, ce qui me fait pester immanquablement à chaque fin d'hiver. Comprenez-moi bien, j'aime bien l'hiver. C'est la fin de l'hiver qui me tue. Cette période tampon avant l'arrivée du printemps où on ne sait jamais si il va neiger, pleuvoir ou faire grand soleil, si le mercure va s'éclater et me faire suer sous mon manteau ou se morfondre dans des températures subpolaires.
Il y avait quand même de jolies choses à voir. En descendant la côte du Beaver Hall, il y avait une succession de vagues minuscules qui dévalaient l'asphalte et qui finissaient en torrents sur la rue Viger. Et puis j'ai procuré un moment d'hilarité à ma douce lorsqu'en partant de la maison, un gros tas de neige m'est tombé dessus juste au moment où je passais sous l'arbre du voisin.
Bâtard de cochonnerie!
2 Comments:
Ah je te dis, il y a touours une tempête le 5 avril ou presque. Je m'en souviens parce que c'est pareil à chaque année pour la fête de ma mère :)
Bruno,
Un joyeux anniversaire à ta mère!
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