Bonne fête Constance!
Samedi, c'est la fête d'amis pour l'anniversaire de Constance. 5 ans maintenant!
Les invités arrivent en début d'après-midi. Ils sont au nombre de cinq, c'est la limite qu'on avait fixé auprès de la jubilée. Sinon, on se serait retrouvés avec l'ensemble des amis de la garderie, plus on est de fous, plus on rit, pas vrai?
Après quelques tentatives de jeux, organisés pour le bénéfice de la marmaille, tout le monde s'entend finalement (c'était vraiment pas notre choix à nous, les parents) pour le jeu le plus exaltant de tous, soit courir et hurler à tue-tête dans toute la maison! Oh, pour des enfants de 4 et 5 ans, le Twister, piquer la queue de l'âne, empêcher les ballons de toucher à terre, tout ça c'est bien amusant, mais pas plus de 42 secondes par jeu. Après, on est pus capables, faut passer à autre chose! Misère, on savait que les enfants d'aujourd'hui avaient une capacité d'attention hyper-limitée mais là, c'est plus que ridicule! La maison est donc devenu un parc d'attractions. Ok, on a réussi à les occuper pendant dix minutes, reste qu'une heure cinquante à la fête. Trois sont maintenant dans la chambre de Constance à sortir des millions de jouets afin de déterminer lequel seul et unique parmi ceux-ci ferait l'objet de leurs convoitises et chicanes, tandis que deux autres sont debout à sauter sur le divan de la salle à manger (cherchez pas d'explications nébuleuses, la maison est un work in progress, les meubles ne sont pas nécessairement à l'endroit qui leur convient le mieux). Bref, la situation a vite dégénéré.
On règle une partie du problème en leur permettant de descendre au sous-sol. Les enfants nous suppliaient depuis leur arrivée de les laisser aller voir la salle de jeux, qui n'existe pas encore sauf dans l'imagination de mes enfants (vous vous souvenez du work in progress qu'est ma maison?). Rien que des murs de bétons dégarnis, des boîtes empilées et quelques jouets, dont une jeep à batterie (sans batterie), offerte il y a quelque temps par un mononcle qui l'a récupérée de sa belle famille. Le jouet idéal pour amuser les bestioles, à condition que le pôpa de Constance veuille bien pousser la bagnole dans des courses effrenées à travers les boîtes et les chaises pliantes qui jonchent le plancher (soupir...). Ok, puisqu'il faut bien les occuper en attendant le gâteau, alllons-y. Tout le monde en ligne, ce sera deux par deux, chacun son tour derrière le volant. Les enfants s'amusent follement à se faire pousser, l'adrénaline pompée au maximum lors des dérapages contrôlés. Plutôt rough pour le dos, pas le leur mais celui du vieux de 42 ans! Mais bon, on s'amuse sainement et c'est ça qui compte. Pendant ce temps, Adrien est occupé avec son ami, copain de classe et grand frère de l'un des invités de Constance. On avait profité de l'occasion pour l'inviter à se joindre à nous. Pas de supervision nécessaire pour les deux grands, ils sont affairés devant le GameCube. C'est du sérieux.
Puis vient le temps de sortir le gâteau, tout le monde remonte en haut! Un magnifique gâteau chocolat garni de glaçage au beurre, surmonté d'un magnifique exemplaire plastique du dernier héros du merveilleux monde de l'animation numérique, j'ai nommé Flash McQueen! "Moi, je l'ai le film de Flash McQueen à la maison!" qu'on entend à maintes reprise lors du dévoilement de l'objet de nos salivations. Après avoir été récupéré l'un de nos invités qui s'était réfugie dans la chambre de mon fils en pleurant (il se plaint de ne pas avoir de place autour de la table pour bien admirer le gâteau), nous avons finalement un court (très court) moment de calme lors de la dégustation. Dès que le dernier affamé de cette joyeuse bande est servi, j'entends des cris amusés fuser de la salle à manger (oui dans ce cas-ci, la table se trouve bel et bien dans la bonne pièce). "Dégat! Dégat!", chantent en choeur les enfants. J'arrive pour éponger le verre de lait renversé qui commence à dégouliner sur les cadeaux, qui sont restés sous la table (évidemment!), et pour demander aux enfants de s'éloigner, eux qui se sont tous levés pour venir voir de près le dégat en question et se mettre les deux pieds dedans (évidemment!).
Ok, quatre heure est presque arrivé, c'est une question de minutes avant que les parents ne viennent récupérer leurs enfants adorés. Deux heures intensives qui décuplent l'admiration déjà immense que j'éprouve pour les éducatrices en garderie.
Après la fête, Constance vient m'offrir un autocollant de George le curieux, petit singe héros d'un dessin animé du même nom. Je lui répond que je vais lui faire tenir compagnie à un autre singe de mes connaissances, celui qui orne la couverture du livre Why Darwin matters, dont j'ai parlé sur ce blogue il y a quelques jours. Nous ouvrons la jaquette intérieure du livre et nous y collons George le curieux. Constance est ravie. Moi aussi.
Vives les primates, petits et grands!
Les invités arrivent en début d'après-midi. Ils sont au nombre de cinq, c'est la limite qu'on avait fixé auprès de la jubilée. Sinon, on se serait retrouvés avec l'ensemble des amis de la garderie, plus on est de fous, plus on rit, pas vrai?
Après quelques tentatives de jeux, organisés pour le bénéfice de la marmaille, tout le monde s'entend finalement (c'était vraiment pas notre choix à nous, les parents) pour le jeu le plus exaltant de tous, soit courir et hurler à tue-tête dans toute la maison! Oh, pour des enfants de 4 et 5 ans, le Twister, piquer la queue de l'âne, empêcher les ballons de toucher à terre, tout ça c'est bien amusant, mais pas plus de 42 secondes par jeu. Après, on est pus capables, faut passer à autre chose! Misère, on savait que les enfants d'aujourd'hui avaient une capacité d'attention hyper-limitée mais là, c'est plus que ridicule! La maison est donc devenu un parc d'attractions. Ok, on a réussi à les occuper pendant dix minutes, reste qu'une heure cinquante à la fête. Trois sont maintenant dans la chambre de Constance à sortir des millions de jouets afin de déterminer lequel seul et unique parmi ceux-ci ferait l'objet de leurs convoitises et chicanes, tandis que deux autres sont debout à sauter sur le divan de la salle à manger (cherchez pas d'explications nébuleuses, la maison est un work in progress, les meubles ne sont pas nécessairement à l'endroit qui leur convient le mieux). Bref, la situation a vite dégénéré.
On règle une partie du problème en leur permettant de descendre au sous-sol. Les enfants nous suppliaient depuis leur arrivée de les laisser aller voir la salle de jeux, qui n'existe pas encore sauf dans l'imagination de mes enfants (vous vous souvenez du work in progress qu'est ma maison?). Rien que des murs de bétons dégarnis, des boîtes empilées et quelques jouets, dont une jeep à batterie (sans batterie), offerte il y a quelque temps par un mononcle qui l'a récupérée de sa belle famille. Le jouet idéal pour amuser les bestioles, à condition que le pôpa de Constance veuille bien pousser la bagnole dans des courses effrenées à travers les boîtes et les chaises pliantes qui jonchent le plancher (soupir...). Ok, puisqu'il faut bien les occuper en attendant le gâteau, alllons-y. Tout le monde en ligne, ce sera deux par deux, chacun son tour derrière le volant. Les enfants s'amusent follement à se faire pousser, l'adrénaline pompée au maximum lors des dérapages contrôlés. Plutôt rough pour le dos, pas le leur mais celui du vieux de 42 ans! Mais bon, on s'amuse sainement et c'est ça qui compte. Pendant ce temps, Adrien est occupé avec son ami, copain de classe et grand frère de l'un des invités de Constance. On avait profité de l'occasion pour l'inviter à se joindre à nous. Pas de supervision nécessaire pour les deux grands, ils sont affairés devant le GameCube. C'est du sérieux.
Puis vient le temps de sortir le gâteau, tout le monde remonte en haut! Un magnifique gâteau chocolat garni de glaçage au beurre, surmonté d'un magnifique exemplaire plastique du dernier héros du merveilleux monde de l'animation numérique, j'ai nommé Flash McQueen! "Moi, je l'ai le film de Flash McQueen à la maison!" qu'on entend à maintes reprise lors du dévoilement de l'objet de nos salivations. Après avoir été récupéré l'un de nos invités qui s'était réfugie dans la chambre de mon fils en pleurant (il se plaint de ne pas avoir de place autour de la table pour bien admirer le gâteau), nous avons finalement un court (très court) moment de calme lors de la dégustation. Dès que le dernier affamé de cette joyeuse bande est servi, j'entends des cris amusés fuser de la salle à manger (oui dans ce cas-ci, la table se trouve bel et bien dans la bonne pièce). "Dégat! Dégat!", chantent en choeur les enfants. J'arrive pour éponger le verre de lait renversé qui commence à dégouliner sur les cadeaux, qui sont restés sous la table (évidemment!), et pour demander aux enfants de s'éloigner, eux qui se sont tous levés pour venir voir de près le dégat en question et se mettre les deux pieds dedans (évidemment!).
Ok, quatre heure est presque arrivé, c'est une question de minutes avant que les parents ne viennent récupérer leurs enfants adorés. Deux heures intensives qui décuplent l'admiration déjà immense que j'éprouve pour les éducatrices en garderie.
Après la fête, Constance vient m'offrir un autocollant de George le curieux, petit singe héros d'un dessin animé du même nom. Je lui répond que je vais lui faire tenir compagnie à un autre singe de mes connaissances, celui qui orne la couverture du livre Why Darwin matters, dont j'ai parlé sur ce blogue il y a quelques jours. Nous ouvrons la jaquette intérieure du livre et nous y collons George le curieux. Constance est ravie. Moi aussi.
Vives les primates, petits et grands!