Souffrir pour être beau
Je reviens du gym. Je suis brûlé. Ça fait une semaine que je n'y suis pas allé et ça paraît. Il faut vraiment maintenir la fréquence sinon je perd toute endurance.
En tout cas, à peine deux minutes d'entraînement cardio-vasculaire et je suais déjà à grosses gouttes. Il y a des gens qui s'entraînent, et j'admets que certains ont la forme, mais qui ne transpirent à peu près rien. Secs comme c'est pas possible! Comment ils font?
Alors que je transpire le quart des pluies annuelles de la forêt amazonienne, eux sortent du gym sans passer par la douche, frais et dispos comme des roses.
Font suer, ces abrutis.
.....
Un petit haïku, ça vous dirait?
Non, non, ce n'est pas un jeu de chiffres à la manière des sudoku. C'est un poème japonais composé de trois vers, le premier et le dernier ayant cinq syllabes chacun tandis que le deuxième en contient sept. Un peu à la manière d'un alexandrin (ver de douze syllabes), la contrainte, si on peut dire, fixe la forme. Mais comme les japonais maîtrisent l'art de compliquer les choses tout en essayant de paraître zen, ils ont inventé le haïku, dix-sept syllabes réparties dans trois vers. Whatever!
Enfin bref, il y a un haïku tous les week-ends dans le journal La Presse, inspiré de l'actualité. C'est un plaisir de les lire. Je trouve que c'est bien rigolo comme forme littéraire et j'ai même laissé libre cours à mon inspiration pour créer non pas un, mais deux haïku. Comme quoi je ne fait pas qu'écrire des niaiseries.
Alors voici mes deux créations.
Nous avons vu l'homme
Fugace fantôme de paillettes
Say, are you Elvis?
Les kilomètres passent
Fortune grossit à vue d'oeil
Heureuses pétrolières
Hey, pas mal, hein? Ça m'a tellement emballé qu'il se pourrait que je récidive. Si le coeur vous en dit, pourquoi ne pas écrire vos haïku et me les transmettre? Je pourrais les publier sur le blog. Quel joli patchwork de poésie à l'orientale nous pourrions créer ici.
En tout cas, à peine deux minutes d'entraînement cardio-vasculaire et je suais déjà à grosses gouttes. Il y a des gens qui s'entraînent, et j'admets que certains ont la forme, mais qui ne transpirent à peu près rien. Secs comme c'est pas possible! Comment ils font?
Alors que je transpire le quart des pluies annuelles de la forêt amazonienne, eux sortent du gym sans passer par la douche, frais et dispos comme des roses.
Font suer, ces abrutis.
.....
Un petit haïku, ça vous dirait?
Non, non, ce n'est pas un jeu de chiffres à la manière des sudoku. C'est un poème japonais composé de trois vers, le premier et le dernier ayant cinq syllabes chacun tandis que le deuxième en contient sept. Un peu à la manière d'un alexandrin (ver de douze syllabes), la contrainte, si on peut dire, fixe la forme. Mais comme les japonais maîtrisent l'art de compliquer les choses tout en essayant de paraître zen, ils ont inventé le haïku, dix-sept syllabes réparties dans trois vers. Whatever!
Enfin bref, il y a un haïku tous les week-ends dans le journal La Presse, inspiré de l'actualité. C'est un plaisir de les lire. Je trouve que c'est bien rigolo comme forme littéraire et j'ai même laissé libre cours à mon inspiration pour créer non pas un, mais deux haïku. Comme quoi je ne fait pas qu'écrire des niaiseries.
Alors voici mes deux créations.
Nous avons vu l'homme
Fugace fantôme de paillettes
Say, are you Elvis?
Les kilomètres passent
Fortune grossit à vue d'oeil
Heureuses pétrolières
Hey, pas mal, hein? Ça m'a tellement emballé qu'il se pourrait que je récidive. Si le coeur vous en dit, pourquoi ne pas écrire vos haïku et me les transmettre? Je pourrais les publier sur le blog. Quel joli patchwork de poésie à l'orientale nous pourrions créer ici.
Libellés : Poésie
3 Comments:
Salut JF, voici mon haiku:
Ivre d'alcool, Ivre d'amour,
Quelle folle farandole,
Quels beaux détours pour des contours!
Voici le mien...
J'ai fini une job,
Sous le fin film appliqué
Crasse et années.
Ça commence à déferler. Je savais bien que ce blog pouvait devenir une pépinière de talents. Merci et lâchez pas!
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